Alizé d’une pensée …
Dans notre garçonnière, mon verbe indiscret se fait gestes secrets. Mes yeux envoûtés d’un rêve enivré, pleurent la balade de mon âme vagabonde. Le cri accoucheur d’une verve apeurée où ma bohème se dessine. L’insolence de ma jeunesse dégringole, endormie sur l’escalier du temps et se fane une anémone qui n’a jamais su éclore dans ce monde incolore. Pourquoi vouloir offrir le rouge d’une vie aux pétales d’une rose albinos ?
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