Astre au port.
Á la larme automnale le feuillet de septembre, une poupée de porcelaine et la rue s’éteint … Se repose l’enfant docile et ses rêves se mélangent vœux publiés... Caresse au vent sa main tremble et se fige le temps. Sur un brouillon réconcilié se redessine l’Immaculé, une larme à la chandelle prunelle d’éternité. Quand tremblent les saisons tu passes ta main sur ton front et se meurt l'ivraie, livré le pigeon voyageur.
Et guinchent les pluies automnales et brode l'ivresse des neiges éternelles.
Auprès des années aînées il est si bon d'oublier et d'aimer.
* L'Immaculé: le ciel.
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