Bohème chic.
J'écoute le silence de tes lèvres, la vie pianote piano-bar... Un vol d'oies sauvages oisif, me reste naufragé ce pays lointain au creux de ta main. Tournez violons jusqu'au dernier jupon. J'irai chercher plus loin peut-être après-demain l'oasis de nos vies, piano-bas tremble ma main. Un vol d'oies sauvages interminable plainte, je cherche encore hier, sous l'ombre de ta paupière me reste orphelin l'éclat de ta prunelle. J’irai chercher demain la musique de tes lèvres à l'aube de tes reins. Et ce moins que rien le rideau du temps, rien que des gestes sur la dernière scène, une bouche inaudible, dis ! On se rejoue l'orpheline ? Musique câline un bruissement d'ailes, froissement de soie, café crème, piano-bar nos doigts se torsadent. Un violon sanglote dernier témoin.
Inscrivez-vous au site
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 29 autres membres