Boulevard des airs…
Quand passent les gitans nomades du temps, se froissent les jupons chuchotements d’hirondelles. Se plisse l’horizon chiffonnade d’illusions. Frôle l’herbe tremblante la larme du poète tant l’ivraie s’enivre sous la dentelle blanche. Un petit bout bohème, ma bohémienne, ma bohème, quelques roulottes éparses... Tombent les feuilles mortes quand partent les gitans.
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