Bourgeon noctambule.
S’emperlent mes prunelles, fleurs sauvages au parfum vaporeux. Angélique voyage de mes paupières vagabondes au mille bagages, enivrées du nectar des angels, saoules jusqu’au bout des cils. Nulle bergère n’a la lanterne plus douce que la lune en veille guetteuse du temps de mon cœur somnolent. N’effleure vertueux mon songe qu’un soubresaut de ta main tremblante, mon ange bleu.
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