La nudité de l'esprit.

Le goutte à goutte de la vie, le temps jolie balancelle d'un cœur de jouvencelle aux rides du pourquoi ...  Des gouttes d’amour essuyant  d’un revers de prunelle  la pluie sur un visage et demain ? Et demain un mouchoir sans lendemain … La bohème porte plainte, jérémiade d’un trottoir, sur le quai  d’une gare somnole la Jaguar infantile, ses kilomètres au compteur, ses pneus à  la gomme d’automne, vieille deudeuche  les battements d’un cœur métronome d’une mécanique trop ancienne. S’éveille une cougar au métissage d’une charmille hivernale, manteau de couguar sur les épaules, châle d’orgueil des prémices d’une call-girl, colle girl, cale girl, une escort-man à la main veilleuse de draps napolitains d’un lange aux accents bohémiens  écheveau de ses jeunes années. L’Octavia monte ses octaves, octave via … Ses "Michelins" au fil de fer, ses miches, lin au fil de fer.