Campanule.
Une larme marque-page, l’océan s’échevelle, calandre un azur de prunelles où sont échouées cargos et matelots. Garrigue les calandres saoulées à la prunelle, liqueur du prunellier d’un jardin d’éden où l’oiseau lyre d’un écheveau de cœur s’enivrait. Recueil du temps … Chevauchait tendrement un minois cils après lèvres, la lyre glaneuse maraudant quelques arpèges. Á ton pleur immigré larmoie le vent madrague de paupières à la chandelle d’une page blanche, écueil.
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