Comme si de rien n’était …
D’un pan de ta chemise recouvrir la lagune, d’une gouttière de larmes sevrer mes yeux, un petit brin de destin en se tenant la main, un bout du journal du temps. Allez ! Viens on va se faire comédien, à bouffées de vaurien un petit bout de chemin sans chagrin. Que veux-tu que je te disse ? Et si on ne se disait rien juste démolir nos châteaux de sable … S’engouffrer dans la vague. Dénouer mon foulard, dégrafer ta chemise. Allez ! Viens agrippe ma main.
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