Cœur de bohème l’amour sait.
Un tango argentin sous tes reins aériens c’est trois fois rien mais la vie s’enjôle de ces tous petits riens. Loin de nos mandolines le temps nous assassine. La vie sur une chaise, regarder passer les oies sauvages et les orages nous déchirent drapé de ciel gris sur les yeux. Et le cœur assisté réessayer d’écouter les mots bleus. Un roman sous tutelle, posées sur un pupitre les bretelles d’un vieil amant, la fouille de mes prunelles à l’innocence d’une trousse d’écolière. Et les bruits de ce vieux carrousel …
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