Élytres.
Comme un chant éternel me reviennent les valses de Vienne. Lettre musicienne la nuit s’offre à moi, solfège abandonné. Ivresse à pas feuilletés valse la comtoise, ô ! Bourgeoise danse des jours beau gosse. Un tantinet maladroite la rose ouvre sa fenêtre, déploie ses ailes saupoudrées de la cannelle dansante du potron-minet cannelé d’or à mes pieds. Pégase et sa voilure blanche, nuée, tournoient au tour de mes hanches. Tant sa blancheur m’emporte, m’enjôle, se décadenassent les brûlures de mon cœur. Et le ciel accoucheur des hennés du bonheur m’enrobe.
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