Filet.
Marionnettiste, je ressens la tire de tes ficelles, l’inoubliable coquille au caramel, vol à la tire. Le vol des hirondelles, à tire-d’aile un rêve bleu, la baie des anges. Je regarde passer les oies sauvages, sur leurs ailes cendrées le mourir d’aimer, l’horizon et le grand bleu … Les orages puis le ciel pâle, l’indigence d’une prunelle, la calèche de tes paupières, vacille une île sur tes cils, notre île. La marinade et ce grand quai, le bal de l’obédience, un loup sur ton visage. Une plume d’oie sauvage, la drague de l’océan, la péniche, le grand large, le salin, un revers de ta manche, le nid de l’hirondelle. Marionnette, la première cordée de tes mains sur mes hanches, le silence, la déferlante, les récifs, des coraux, le chaland, sur ton front un ponton. Sissi, la marée, le rideau tombe, coche d’eau, les marais salants, si, si …
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