Goutte à goutte.
Mes larmes un matin de décembre ont effleuré tes cendres, un fou souvenir, fièvre vipérine au bord d’un jardin. Je reste l’élève d’un soir où mes lèvres ont goûté ton poème. Chaque page à son chemin, chacun de tes vers sont au creux de ma main, chacune de tes rimes sont les mots de mon destin. Je suis l’écolière d’un rêve caché au fond d’un tiroir au capiton de satin des pleurs d’un adonis, pantin de réglisse.
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