Houle.
La vie n’a qu’un visage entre tombe et rivages. Donne moi un peu du granite de tes yeux, de ce bleu incrusté là au creux de ta pupille, de ce rêve céruléen déposé dans le ventre des cieux, de cette encre marine, ancre de vieux marin. Nous dormirons ensemble, notre paillasse couche d’or même si l’on couche au dehors. Tu seras mon mistral et moi ta feuille automnale.
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