I love you, Facebook !

Oh facebook ! J’aime ta sauvagerie lorsque des âmes trop sages viennent s’échouer sur ton rivage. Des larmes dites à demi-mot perlent sur leur visage. Sanglotent dans leurs phrases amertume et vexation … Le grand frisson d’une oraison burlesque, se dessinent sur ton vaste horizon désespoir et déraison. Nul ne portera attention à ce masque funéraire ! Que débauches suicidaires ont vu le jour sous des profils moribonds. Qu’un saut de l’ange fut ton rebond ! Ce soir mon crayon trace sur l’ardoise douloureuse des incompris … Les relents de solitude foisonnent sur tes murs, citadelle bâtie de remords et d’ennuie. La forteresse des maux se construit, souterraine sous ton règne.