Je vous salue le peuple !
Fuck you éditeurs hitlériens à vos lois je reste sourde, de votre dictature j’ai écrit une parodie ! Tant que je vivrais, pas une seule virgule sera déplacée de mes phrases. Je ne suis pas un pot de confiture même si mon étiquette d’écrivaine atypique est peu alléchante moi je m’en pourlèche les lèvres ! Je tire ma révérence dans la nonchalance … De tous ces faux astres je n’accepte aucune doléance ! Au milieu de tout ce monde j’ai froid. La petite fourmi égarée ne peut pas survivre dans une fourmilière austère. Je m’en vais reconquérir la solitude et ce bienfait qu’elle me procure, celui de me sentir unique dans la tiédeur de mes maux. Il est vrai qu’on apprend mieux par soi même les défauts d’une existence. Je retourne dans mon berceau dans la chaleur de l’innocence de mes mots. Viens mon ami Baudelaire ! Tous deux nous allons voyager si loin … Là où plus rien ne pourra nous atteindre. Je mêlerais ma verve à la tienne et nous trinquerons à notre amitié ! Ne lâche pas ma main ! Ne sois pas comme tous ces êtres qui disent me faire du bien mais qui ne pensent qu’à m’offrir des fleurs flânées. Les tiennes sont soi-disant du mal mais elles me font tant de bien … L’écriture soigne mon âme incomprise, de mon monde souterrain j’en ferai une terre promise, un lieu souverain pour construire mon demain.
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