Juste quelque chose …
Mômes de jours s’entrelacent les heures, s’entrebâillent paupières de glace mes gamins de jours, glacis de larmes. Pomerol caché sous ta poitrine, pomme rôle, joue la déprime, odeur de naphtaline tout contre ma poitrine, adieu les clémentines, une odeur de naphtaline clémente in … Kiss me sous la mantille parfum de vanille, clémente à jamais essence térébenthine, travelling sur ma poitrine.
J’ai peur du bruit de l’absence,
du bye-bye de tes lèvres,
du bail de l’indifférence,
de cette porte qui bâille
sans ta main sur la poignée.
J’appréhende
méandres
une poignée
de rien,
des champs de blés
blets,
un chemin de cendres,
le verbe aimer à la criée,
la floraison de l’ive.
Je crains,
la tristesse tiède,
l’if est ses baies sauvages,
mes seins sans rivage,
notre chambre dans le noir,
ses draps sans soir,
la somnolence en live
d’un lit sans ma moitié,
s’évapore la fièvre,
mon cœur sous l’oreiller.
Après la grêle …
Comme un après-pleurs
de femme abandonnée,
elles osent
encore
mes roses
flirter
avec le soleil,
mes fleurs
corolles lueurs,
comme la femme
,chandelle sans aile,
refleurit ange sur la branche,
après l’orage
un ciel et son braille.
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