L'immortelle.
Elle a chargé ses valises, un brouillon de buvard, ta larme crisse… Froisse ta main un papier journal, dernière page tournée à la gauloise. La fumée de tes Gitanes maquille ton angoisse derrière la fenêtre, sur le trottoir le blues bleuté du pot d'échappement de sa Mini, minimiser la tombée de rideau. Draper le temps, un froissement de paupières, les roses se sont fanées ouvreuses du bal des feuilles mortes et au rondo des souvenirs renaissent les amours mortes.
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