L'orfèvre du temps.
Le cœur trop petit pour y loger la haine, tous ces pas de calendrier une canne à l'appui. La fugue des jours gris, traîne d'un chandail, de la mèche blanche à l'orpheline ; les vestiges d'une vie. Le deuil des esclandres, à l'abandon d'un quai le pastel d'une gare... Et confuse, ma mie, le retrait de nos soupirs. Le compte à rebours des sanglots et au fin fond d'une baie, guenilles, nos larmes d'ado... Entre la femme et la pucelle s'agenouille Marie. Les vieilles maîtresses frissonnent.
*Ma mie : ma vie.
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