La balade d'une immortelle.
Ton regard fut le linceul où mon âme fit deuil, fumigène d’allégresse, mi-fugue, mi-maux à demi mots … Tu offris hameau toi l’arbrisseau à l’imberbe amour, dans ton feuillage d’ange ma main s’est éprise de tes câlins sauvages. Il était un printemps où ton navire échoua … Et puis il y a eu cette tendresse caresse dans les reins de mon cœur et ensuite l’ivresse des caresses dans le bas du dos puis comme une sécheresse au bord des lèvres, des baisers bordés de larmes épaves au fond des yeux. Et toi tu restes là comme un mendiant au bord d’un ruisseau, comme un bagnard aux cheveux blancs. Tels que nous sommes notre amour s’aime encore, barrage contre la montre, sème, brodeur de couche, quelques graines de tendresse où chuchotent encore quelques caresses.
Inscrivez-vous au site
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 29 autres membres