La plénitude d’un cœur.
Les fleurs du mal sont la paresse du cœur.
Les fleurs du bien sont les caresses du cœur.
Tous les bouquets de fleurs ont leur faiblesse.
Seul le cœur connaît l’éphémère de la largesse des fleurs.
L’on fait de son cœur un pénitencier et un paradis en alternance,
le temps glacis des jours,
le cœur bohème d’amour.
Les séductions de ma plume vendeuse de rêve, ses rimes à la criée,
son encre n’est qu’éphémère éphéméride chut …
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