L’ironie d’un destin …
La larme du héros éclose du fond d’un tombeau, longue traîne lancinante qu’apprivoise mon âme sournoise sur le corps échoué d’un amant blessé. Enjouée querelle que je sois blâmée et damnée de n’être que demoiselle de compagnie. Que cette escapade charnelle devienne colombe de paix. Oh mon ange vous me faîtes mourir d’anxiété quand au creux de ma couche célibataire se meurent les cris de divorcés de nos plaisirs oubliés. Jouissance fermée hurlant à la mort par la fenêtre close de mon cœur lacéré de votre absence. Mes mots badauds devant vos draps austères, mes gestes agenouillés au chevet des guenilles de notre amour. Les maux de ma croupe ouvrière, évincée, esseulée, leurrée, orpheline de vos sens je suis ... Capucin de mes seins, revenez donc me conter fleurette !
George Sand était une femme. Ne m’oubliez pas …
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