L’archive.
Á la draperie joueuse couché sur mon épaule le vent de novembre. La vie s’effile fleur hébergée à la paume de mes seins et tous ces gestes de silence gardien du temps, la surdité de mes lèvres. Passager nu un chant comédien balancier sur mes cils, voilier à la dérive sur le Danube de mes reins l’azur et sa vague somnolente. Grégorienne fillette la prunelle libertine, prussienne la caresse oubliée des jeux interdits. La fièvre du jardin d’Éden naufragère clandestine bailleresse d’un corsage affranchi aux esclandres archivés. ô ! Ma Gauloise sans ta chambrette pucelle s’agenouille un lange esclave du couchant.
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