Les cernes de mon âme.
Mon cœur est en chandelle, mes larmes, cire chaude coulant sur le pied d’un chandelier. Du premier de tes mots au dernier de mes maux, apprivoise moi au creux de l’incertain, tous deux, nous serons si bien, entrelacés dans le miroir de la liberté. Je t’offre mon bien le plus précieux, la poussière d’or de mon corps. Comme une renégate laisse moi flirter avec l’odeur de ta peau, encore espérer le reflet de tes yeux. Ma fidélité comme un impôt, exonérée de la couche de mes nuits blanches. Du bout de mes doigts de porcelaine, j’effleure le rêve d’un toucher, le fruit de ton indépendance, bordé sous d’autres draps. De ta vie, je suis l’auteur de pas sages, l’hôte, heurt de passage.
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