Les Jacques pré vert …
La raison du mental n’est pas forcément celle du cœur.
Que serait la bergère sans le loup, transhumance sans cœur, gardienne de ses brebis assoupies, une herbe broutée sans ardeur. Plus d’escapade de l’âme où ses volets intérieurs ne claquent plus à la volée mais sont claquement anonyme, imperceptible clapotis de vie de persiennes seules à l’embrasure du cœur. Est bien souvent amère l’herbe folle, anodine si ses racines oublient la folie de l’herbe humectée de rosée, verdure sans attrait. Ne t’en fais pas mon petit loup … Un univers est toujours à refaire, les contes de fées n'ont pas leur pareil.
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