Les portes du pénitencier.
Sa vie, sa folie, la lèvre pâle aimer jusqu'à la dernière envie... Donner sa gamme le coeur vagabond au fin fond d'une partition, tremblent ses doigts nus à l'oubli de ses vingt ans. Bohème aux milles guenilles chavirent tes murs si gris quand ta prunelle fugitive à l'orphelinat d'un train de banlieu presse le pas pour briller de mille feux. Par la porte du poète je t'écrirai papier Kleenex le roman d'un sanglot, papier carbone résonne ta guitare.
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