L’ô riant des aînés …
Le temps en danseuse sur les cils, un couchant de ciel bleu sous les paupières, la danse pupille du premier printemps, balancelle au vent. La fièvre à fleur de cœur, butine encore la prunelle des vieux amants le miel des vingt ans. La java océane de leurs draps, l’eau riant valse bohème les entraîne, drapé de sablon requiem d’une plage abandonnée aux grains de sable mordorés. Courtisent des cheveux blancs les hennés d’un levant, l’Orient-express arrêt sur images, dernier quai, mordille encore un peu une peau d’adolescent leur soleil priant, lorries en l’orient.
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