Maux de tendresse.
Rester, aimer, épier les incertitudes du temps, savourer la dernière aubade au clair de la lune, de délices en caprices, s’enivrer comme saigne une déchirure … Le voile des années sur les épaules comme un châle caressant mon âme, je me laisse violer par mes quelques rimes de vie. Rêver de baisers indigents, d’une main d’un amant loin d’un rien, près d’un mien, d’un matin de satin où mes maux savent épouser les fleurs du printemps où mes mots bannissent mes soupirs. J’entends ce cri d’amour du Judas de mon cœur. Éole souffle sans bruit, sans peur sur le verbe de mes pleurs.
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