Mirage …
Et la larme bohème caresse ma joue, rosée sur ma peau quand l’automne m’invite à sa danse clandestine. S’étreignent les roses en pétales enlacés, d’une ivresse immigrée se jalousent les baies. Mon cœur sur la jetée sous la course de la bise se camoufle éreinté. Petite main candide du chanvre du grand mât, brûlée, s’effeuille du bout des doigts intermittente des jeux de l’amour. Bohémienne à fleur de pleur s’égrène ma prunelle. Ne fut qu’une bohème la grand-voile charmille d’un souffle éphémère. Et ma bouche noble de ruelle s’offre à la tendresse d’un baiser, volage bohème un rêve sur les lèvres.
Retour aux articles de la catégorie Sur un autre chemin ... -
⨯
Inscrivez-vous au site
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 38 autres membres