Plombe la vie mon p'tit loup.
Ce flou et elle prie la Madone, le cœur à l'étranger...
L'emprunt d'un bonheur, la reposée du chevreuil et puis cette école buissonnière, ta main bohémienne. Quand à la chamaille d'une larme baigneuse dans ta prunelle, au soupir d' Éole du trépas de la veuve tu te racontes d'un rebord de lèvre fugueur...
Comme la colombe au levant le matin drape le temps.
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