Quatorze juillet.
Juillet n’est pas très guai, des heures happées d’un soleil voilé.
Les guinguettes s’éteignent
ivres de lumière.
Juin s’en moque bien …
S’affaissent les rides d’un été estompé.
Mai ce petit vaurien, amoureux d’un soir reprend sa liberté !
Août comme un mendiant nous tend la main et quémande des sentiments.
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