Reine des près.
Tablier de coton à mi-mollet chiffonnier d’un modeste quartier, blotti sur nos genoux l’enfant fatigué. On relit ce vieux roman aux hennés du temps, quelques pages rebelles, batifole fièvre au vent une mémoire baroudeuse. Se pose marque-pages une lèvre enjôleuse on l’effleure du bout des doigts cherchant la caresse printanière, cette pauvre vieille silencieuse et courbée … Se mansardent les premiers pas peloton à mi-chemin, dans ta main bergère un écheveau de laine. Satin froissé la jouvencelle se laisse bercer sur sa balancelle. Ma lycéenne crisse l’ardoise, je revois un bout de craie, ma main aveugle sur le pupitre cherchant l’apprentie sur le grand tableau noir. L’enfant du pays Joséphine courbaturée, dégrafer quelques paragraphes, encore une trame ! La larme en rappel on réécoute sa vie piano-bar, chapeau bas aux violons tout là-bas …
L'erreur est humaine et sa dette nous paraît fortuite.
Inscrivez-vous au site
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 29 autres membres