Rosalie.
Ne fut qu’une valse d’eau, une larme, un anneau. Un drapeau de marbre, une prunelle courbatue, les violons dévêtus, le nu de sa peau fruit apprivoisé … Colombe sans ombrelle vole jouvencelle, la brise d’une robe blanche à la soie bâilleuse, gantelets et capeline au pourpre indécis. La rose, ingénue enrubannée, conte fleurette au faubourg d’un faux pli du drapé d’une fesse. La vague enjôleuse et fugueuse à marée embrasée, une poignée de sel fou. Dans la baie d’une main la nacre et le salin, amarrée au creux de tes reins la voile du marin au cordage bohémien, un froissement de seins et la vie n’entend plus rien.
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