Schizophrènes d’amour …
Une écharpe de rose
chaloupant le cœur,
son âme s’évapore,
sans accroche-cœur.
Les seins petite mandarine
dans la main dans un mandarin.
Ses courbes sous la brise,
houle marine
de ces gestes de reins sans lendemain.
Nul nu osé,
ne tendre qu’une main,
nul geste grivois,
le bout de ses doigts
n’ose.
Une poignée de porte,
une poignée de songe
baie de rosée.
Sur le pas d’une porte,
un droit de bail,
une baille s’entrebâille
où baille l’amour.
Les yeux de sa mie
fugitif lange
où s’effeuille jour
le bal de ses hanches,
les cent pas d’une danse
effleurent la valse
de caresses avortées.
Deux oiselets sans été
un rêve sur une branche
de son bois taillé
des larmes sans vie
de visages éraillés,
la gravure de deux anges.
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