S’engouffre l’amour …
Je t’ai aimé de lèvres douces à lèvres fièvre à lèvres mortes. Enlacée du temps à demi-mesure de l’aurore au crépuscule, le voile de tes yeux s’est posé sur mes seins, les paupières lourdes, j’ai tourné les pages d’une autre écriture. Des syllabes de solitude sur ta bouche défunte, un vieux poème s’est égrené entre nos draps. Le quatrain de mes reins perdu sur notre chemin de nos nuits étouffées, dans ma poitrine le râle d’un rêve orphelin.
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