Strophe éternelle.
Aimer, rêver, pleurer, le temps est sentinelle des regrets et souffle le vent, danse la pluie. S’effeuille la bohème petit parapluie … Tombe la pluie de ritournelles en sursis, je me souviens, souffle du temps sous la tonnelle, oui tombe la grêle … Valsent tes yeux soleil couchant, danse ma peine soleil levant. L’oubli et sa guerre larmes dans le vent se creusent comme une rivière dans les mains du temps. Á la commissure du soleil, se ficelle la robe des champs, se fissure le petit parapluie ombrelle de l’oubli. Le temps étend ses rides épave de souvenirs, s’étendre, étal blanc sur la rive. Se gonfle la rivière chamarrée de lumière … Se déploient arc-en-ciel les ailes du temps, la pluie se fait la belle, aménorrhée de pleurs, la gerçure de bohème, j’aime et je rêve vent à l’infini, le temps est risque-tout.
L’argent n’enfante pas un sentiment.
L’amour accouche sans argent.
Un je t’aime est enfant de Gavroche,
Poupée de porcelaine est l’ivresse d’une lèvre.
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