Ti amo.
Tourment au couchant le sommeil au levant, la poésie d’hirondelles sur mon front se voulant immature, vaincre le temps voleur, veneur d’adieux, meneur de loups aux yeux voyous, Ô ! Mon dieu qu’on me donne l’envie d’aimer encore ce vieux slow … Ma bouche appel du plaisir, le tremblement de tes doigts sur mes hanches, le frisson de la rose rouge satin de mes nuits blanches, que nulle lune n’étouffe le bleu de tes yeux. L’immortelle au bord de tes lèvres, l’edelweiss comédienne sur ma joue, comme un arrêt sur image, une larme coule, un grave, un aigu, des accords, sable mouvant dans le cœur et je respire encore … Et je respire encore ce parfum de l’orient, solfège dans le vent, arpèges sous tes reins, petit pont du désir. Et je vénère Éros et bénis Himéros.
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