Tramway.
Et le chien de prairie tout là-bas, gambadant au fin fond d’un fourré, pourvoyeur de nos cheveux blancs. Retour en arrière de nos petites misères. Et ce vieux chien de la maison assis sur un muret blanc, nous guettant, le temps détrousseur de nos cheveux blonds.
Retour aux articles de la catégorie Le souffle du temps ... -
⨯
Inscrivez-vous au site
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 29 autres membres