Un soupçon de cendre.
Avec ma majesté de débraillée je garde tous nos silences au fond du cœur. Et sous l’incontinence d’un moment je larmoie femme-enfant. Et aujourd’hui je te fais la manche de nos gestes d’antan, fais-moi l’amour en sous-bois. De cette belle au bois dormant j’ai la larme joyeuse, danseuse de la beauté du diable.
Et sous un voile s'enfuit le val dormeur ...
ô ! Franc-maçon impuissant sous une bruine de carton.
Á la voile, sonneuse,
sous un écrin de verre la veuve joueuse.
ô ! Haillon de saison
bas de laine de la pauvre Hélène,
d’un caressant jupon oraison à tâtons
à en perdre haleine sous l’aine,
la douce mousson.
Et brume jouvencelle,
s’estompe l’aquarelle,
floraison de fleur
entre prunelle et lèvres
à touche-touche de fièvre.
Quelques rimes délibérées de ma poésie libérée.
Dans les pieds j’y perds pied.
De mes belles-lettres myrmécophiles suivez le fil.
Un parchemin à y perdre son latin, palimpseste,
ma prose libertine brime les lignes
et fige mes interlignes et se coagulent mes vers,
j’en peste rage de page blanche.
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