Vois-tu...
Je te vois comme dans un miroir, soudain un réverbère passé intuitif... Nos caresses d'automne s'endorment feuilles mortes, candélabre de nos quatre mains les notes se meurent sur un piano désaccordé. Comme une migraine d'avenir la vie navigue. L'érotisme en poussière, le suc de ta peau glisse sur des draps blancs, amphore des jours heureux nos vieilles larmes d'ado au fusain grisé.
RachelDésir
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