Voyage épistolaire.
Souffle le vent du large,
a capela,
glisse le temps
sous l'aile d'un ange.
capeline
et dame blanche,
enfant de crèche,
éternelles saisons,
obédience des cieux,
psaume intense.
Draps blanc,
pyjama
et bague au doigt,
danse le temps
au fil du vent.
S’en va
l’ardoise
à la craie blanche,
Ave Maria.
Les poèmes sont des larmes d’amour où le temps s’excuse. J’aime la rose s’effeuillant sur une peau blanche, son rose pâle se donnant au pourpre de tes lèvres. J’aime séduire ce fruit sauvage, attendre la cueillette de tes sourires, naufragés du silence de nos sens ou ma prose s’endort à l’aurore. J’aime ta ronde blanche, rôdeuse frôleuse sur mes hanches où mes rimes se déhanchent dans le creux de mes reins. J’aime l’extrait de nos essences. J’aime ton chapelet vagabond sur mes courbes abandonnées et le nectar de la fleur éclose sous l’ombre de ton feuillage faisant valser ma page blanche. J’aime flirter en interlignes, souffle souffre entre tes lignes, plume charnelle, j’aime nos lunes de miel et une noce blanche en alternance.
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