Á quatre mains …
Le langage mélancolique d’une note à l’abandon, se sentir encore femme, mélange d’automne, rédemption d’un zéphyr, perle le sourire de l’enfance, perdre le jupon de l’insouciance … Naît sans réticence la suprême conversation d’un page et d’une rose pâle qui s’émeut en silence, corolle assoupie et pétales en furie. Valsent gouttes de rosée et pleurs, matinales larmes des quatre saisons où Vivaldi se dérobe, un petit râle de poésie, un éphémère accord sans fantaisie. Prêtre sur touche blanche, troubadour sur touche noire, la partition d’une princesse sans robe de bal chevauche un clavier, le romantique s’endort, soufflet d’un vieux piano à main …
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