Adieu à août.
Deux petits seins nus ingénus dégrafés de la plage abandonnée. Septembre étale son châle, môme de novembre, et toi tu chiales mais tout le monde s'en fout de ta larme qui s'étale. Reviendra le temps des pétales, de la rose trémière, du berceau et du cri éphémère. D'un corsage hébété renaitra l'aurore boréale quand la caresse d'un champ de blé brunira ta peau, couleur caramel beurre salé.
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