Allégorie.
Looping du temps,
mémoire dans le vent,
le cœur boiteux
et débiteur
d’un encore
jamais créditeur,
un ruisselet plat
des quatre saisons,
pallier froid,
porte fermée,
la clef gémit.
La rivière ondulante,
juste un baiser
sur ta joue mouillée,
rêve échappé,
tes lèvres supplient,
bouche latente.
Un corset
de lune
enrobe
ton corps.
Une main
se dérobe,
borne.
De papillons,
en haillons
de paillons,
voilette,
volette
le cœur.
Heureux,
je m’entête.
Un gousset
de lune
se referme,
le cœur enferme
l’écume
de tes courbes.
Un rêve orphelin,
je me sens nain
perdu dans ta brume,
je tète
tes seins,
le cœur comédien,
lampion de lune.
* Ressenti de mon petit mari, une certaine nuit … Je préfère mettre Astérix oh pardon un astérisque ! Pour éviter des sous-entendus et des mots « malregardés » .
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