Allegro, allègre, oh !
Crescendo puis piano les notes s’envolent. Un abandon de sentiments sur un clavier désaccordé, les touches blanches d’un baiser prématuré caresse la page d’une mélodie apeurée. Les noires se dispersent, aventurières et désordonnées une partition en sourdine, with mute comme un poète anglais écrivant quelques lignes blacks sur les rebords pâles de sa conscience. Maux frappés comme un café froid traînant sur un comptoir, l’innocence d’une chair le chahute, un remord, mort or d’une âme détroussée. Les jupons frivoles d’un quartier moribond où les mots rient, bons ou mauvais s’acharnent à contempler un portrait au fusain sans authenticité comme une loque innocentée.
Inscrivez-vous au site
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 29 autres membres