Souffle ininterrompu.
S'égoutte la rosée, tendre caresse virginale.
Un ciel d’ébène, les neiges éternelles châle sur mon épaule, derrière les barricades s'étalent les matins allégories du temps.
Plaisirs insoumis, ne reste plus que l'ombre de nos éclats de vie, bâillon des amours mortes.
Tendresse en bandoulière, a cappella le chant de nos lèvres, la fièvre est cette étrangère.
Comme un brouillon de vie me revient la blancheur de nos draps d'ado.
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