À l'écho de la rose.
Au silence du jardin d'Éden,
j'en rêve et j'en crève.
De nos valses de Viennes
festoie ma peine,
vénitienne romance
de mes larmes en cadence.
Voûte de silence,
traîne d'innocence,
l'audace de nos danses.
Fièvre de satin
au dédain d'un drain
aux douleurs de la clémence
à l'heure de la dépendance.
Aux luttes incessantes
de nos humeurs gênantes
se paraphe la vie
et j'en crie
en carence d'envie.
Amante de silence
de ta main qui dort,
tutelle de nos absences,
de ta prunelle au dehors
dans ce drapé des cieux.
Ma joie recluse
arrière-chœur de cette cluse
où je viendrai fermer mes yeux.
A découvrir aussi
Retour aux articles de la catégorie Philosophie. -
⨯
Inscrivez-vous au site
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 29 autres membres