Être auteur c’est savoir être bon pâtissier ...
L’enfer cogne à sa porte mais elle reste sourde à ce quémandeur … L’envolée verbale aisée, cette nuit l’eau salée a baigné son oreiller, ses faveurs accordées, elle s’est apaisée … Une longue traîne de paix sur sa chevelure dorée a bercé ses angoisses, elle partira seule, le cœur saignant et son âme esseulée.
Retour aux articles de la catégorie Verve de silence. -
⨯
Inscrivez-vous au site
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 29 autres membres