Au couchant de la dernière lune.
Emmène moi, là où l’arbre mort revit … Emmène moi là où l’ombre est lumière, d’un contre toi conte moi l’histoire d’Aden et Éve dans ton jardin sans Éden. Viens partons là où la grève s’étend à l’infini. Là ou l’amour n’est plus une mise à prix, emmène-moi … Là où les larmes sont éphémères, là où ma peau reste tiède, là où nos souffles resteront chauds. Emmène moi endormie dans la chaleur de tes yeux, dans la vague de tes cheveux, emmène moi là où les cieux restent bleus et les nuages draps silencieux, emmène moi … Mèche d’adonis frôlant mon front, balayant mes abysses, myriade de rêves à l’abandon, emmène moi. Drapée du rideau du vent des amants d’un jour, bercée d’ambroisie, ambre d’un corps à corps, ivre du murmure de ton cœur, emmène moi. Emmène moi là où les sirènes sont les déesses du firmament, là où les nymphes sont les sirènes des fonds marins. Emmène moi sans mon armure de soldat, emmène moi, traînée d’arc en ciel dans la mémoire du temps, emmène moi.
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