Aumônière de bûcher.
Le spleen du bourgeois, gentilhomme ou mauvaise femme paso-doble, passe au noble. Valsez somptueuses princesses au gré de vos humeurs. Tandis que les indigentes d’amour s’endorment sans force pour leur faim. Enfance porte-plume, chante plume et digère mon âme somnolente. Se cueille mon cœur, rosée du matin, embrun d’une poupée de porcelaine … Le crachin solennel s’enflamme et récidive la balade du pauvre et moi je souffre embryon humanitaire … J’aime quand mes lèvres se reposent, six roses pour mes maux, ma bouche, verve orpheline , cirrhose de mes mots … Je me largue, lest sans fin, l’est se fait lointain … Je rampe à perdre haleine, mycose. Souffle mon âme danseuse et puérile, tombeau au creux de mon oreille, couchette de mes semblables. Couche ouvreuse du grand bal des cieux où la richesse n’est que courant d’air de Deus !
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