Blasphème …
Mon âme est poème et mon cœur bohème, je suis bijou dans ton cœur et étoile au firmament. Mon cœur vit sa bohème mais s’étiole en rose d’automne quand auprès de toi mes je t’aime tziganes se meurent. Quand ton corps s’évapore sur la jetée de mes rêves, sueurs de brise-lames. Quand mon souffle romanichel se fait apnée sur ton torse bombé. Sur un sillon d’argent comme une évadée je fuis alors aime moi en illimité. Mes seins, orphelins d’amour mais enfant d’espoir, prostituée de tes mains affamées, mon ventre de mère en cernes assoupis sous ta feuille de vigne à demi fanée, j’ose encore croire à la crue de notre lit comme à un dernier été. Grave sur cette pierre tombale tes sens au regret de mes courbes tombeau de mes jeunes années.
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